Frédérique Nalbandian présente chez Eva Vautier une riche variété d’œuvres : sculptures, objets, "petites pièces poétiques", dessins, etc., toutes issues d’installations évolutives qui constituent le moteur de son œuvre.
Ainsi la grande vasque noire, utilisée pour son installation e ?volutive Adduction, (Hall des Archives De ?partementales, à Marseille) a pris l’apparence d’un cosmos ou d’un énorme bijou noir, rouge et or. Ses contenants d’eaux minérales issus de son installation pour les (…)
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Chronique
Articles
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Dernière exposition à la Galerie Eva Vautier : Frédérique Nalbandian
22 octobre 2015, par Alain Amiel -
PARASITE de Bong Joon-ho
3 juin 2019, par Caroline Boudet-LefortLa famille préoccupe de plus en plus les cinéastes asiatiques. L’an dernier la Palme d’Or était revenue au Japonais Kore-Eda pour « Une affaire de famille », cette année la Palme d’Or a été attribuée (à l’unanimité du jury) au Sud Coréen Bong Joon-ho pour « Parasite », où il s’agit de deux familles aux statuts sociaux très différents, dont l’une s’infiltre peu à peu dans la prestigieuse maison de l’autre.
Allant du particulier au global, le film brosse le portrait de la société coréenne (…) -
Et si l’Ecole de Nice nous était contée ?
18 août 2010, par France DelvillePour ce qui nous occupe, les innovations et théories de Dada et particulièrement celles de Duchamp ont irrigué les problématiques de tant de leurs successeurs que cela les désigne définitivement comme auteurs de la dernière rupture historique en date.
Claude Fournet emploie même le terme de déchirure dans son introduction à « Chroniques niçoises, Genèse d’un Musée », texte de lui qu’il a répertorié sous le titre d’essai dans sa bibliographie, car en plus d’avoir été Directeur des Musées de (…) -
Le bas de laine d’Aurélie Filippetti
19 septembre 2012, par Harry KampianneDisons-le franchement, notre ministre de la Culture dégraisse sévère question budget. Pas de quartier. Les projets culturels de Nicolas Sarkozy sont revus au régime sec non sans raison car pour un milliard d’euros, il n’y a pas de petites économies. Que voulez-vous la crise, c’est dur ! C’est comme l’eau, ça mouille ! L’idée serait que ce pactole puisse remplumer les bourses exsangues d’associations d’artistes souvent à la merci de faux espoirs et de belles paroles. Mais de cela, mon petit (…)
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En Flagrant "Dali" de faux
20 mars 2013, par Harry KampianneD’ici une semaine, la sublime rétrospective Dali au Centre Pompidou à Paris prendra fin pour aller honorer dès le 27 avril, les cimaises du Reina Sofia à Madrid. Outre le personnage se cachant derrière une excentricité hors du commun, on sait qu’il déployait sans honte une passion effrénée pour l’argent, d’où le sobriquet vachard d’Avida Dollars dont l’avait gratifié André Breton.
Sans contester l’authenticité des chefs-d’œuvre réunis à Beaubourg, de nombreux experts seraient sur la même (…) -
Chapitre 74 : Colette Peignot ou la Laure de Georges Bataille (Part IV)
12 mai 2014, par France DelvilleSuite du texte de Daniel Cassini sur « L. ou la sainte de l’abîme » dans les actes du séminaire 1999-2000 de l’AEFL intitulé « Les destins de la pulsion de mort »
En 1929, Colette Peignot a 26 ans. Pendant 6 mois elle va vivre à Berlin, cloîtrée dans l’appartement d’un médecin appelé Edouard Trautner. La jeune femme a sans doute rencontré cet homme, engagé à gauche, poète, essayiste, écrivain, dans un sanatorium à Leysin dans les Alpes Vaudoises où elle est allée soigner la tuberculose (…) -
Jacques Lavigne peintre, déchireur et colleur - Son oeuvre
24 décembre 2013, par André Giordan & Alain BiancheriSon oeuvre
Son œuvre fut essentiellement basée sur une intense production de peintures sur toile dans un cadre classique –« le rectangle »- qui est pour lui « un archétype ». Ce n’est que depuis moins de 20 ans que Jacques Lavigne s’est remis aux collages papier avec déchirures, technique qu’il avait déjà pratiquée dans sa jeunesse à Paris.
A propos de son œuvre picturale, ses critiques disent de lui qu’elle est toute « tournée vers l’intériorité et la recherche de l’harmonie », sans (…) -
"Mademoiselle" de Park Chan-Wook
28 octobre 2016, par Caroline Boudet-LefortEn s’inspirant librement du roman « Du bout des doigts » de l’écrivaine britannique Sarah Waters, le Coréen Park Chan-Wook signe « Mademoiselle », un thriller, à la fois historique et sensuel, sur des arnaqueurs qui s’entourloupent les uns les autres.
Qualifié de « décadent et virtuose », le roman, sur des pickpockets agiles de leurs doigts, se déroule dans le Londres de l’époque victorienne, aussi semble-t-il incongru de le transposer dans la Corée des années 30 alors sous occupation (…) -
Vernissage de l’exposition MADI au Ciac
30 mars 2011, par Valérie NoriegaA l’occasion de l’exposition " CONSCIENCE POLYGONALE
de carMelo ArDen quIn à MADI contemporain" qui a lieu au CIAC de Carros, France Delville nous propose le film de la soirée de vernissage.
– Exposition ouverte jusqu’au 29 mai 2011
– Commissariat de l’exposition
Catherine Topall (galerie Orion) et Alexandre de la Salle, auteur du catalogue raisonné d’Arden Quin ; coordination artistique du projet : France Delville -
Wim Delvoye, l’électron très libre (1/3)
26 mars 2014, par André Giordan & Alain BiancheriSON PARCOURS
Nice-arts 2000+
Wim Delvoye, belge d’origine flamande, est né en 1965 à Wervik. Toutefois, ce plasticien est très présent sur la Côte d’Azur. Il a déjà exposé au MAMAC de Nice, notamment en février 2010, dans le cadre de l’exposition Dessins et maquettes. Ses sept cochons tatoués qu’il avait élevés en Chine près de Pékin, avant de les naturaliser provoquent aussitôt des protestations de la part des militants de la cause animale, dont la fondation Brigitte-Bardot. Un vif (…)