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Contemporain

Articles

  • Camille BOMBOIS
    11 décembre 2013, par Clara

    Né en 1883 à Venarey-Les-Laumes, et, mort en 1970.
    Dès son enfance, l’envie de peindre lui vint.
    Il du travailler dur pendant sa quête de la technique de peinture, car venant d’un milieu modeste.
    Quand il rentre chez lui après sa mobilisation pour la Première Guerre Mondiale, il découvre que sa femme a réussi à vendre certaines de ces toiles, ce qui l’encourage à continuer.
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  • Maurice DE VLAMINCK
    11 décembre 2013, par Clara

    Né le 4 avril 1876 à Paris, et, mort le 11 octobre 1958 à Reuil-la-Gadelière.
    Durant sa vie, il alternera les peintures, les écrits, comme des essais, des poésies ou des romans. De nature autodidacte, il refuse de se former en copiant les oeuvres de grands maitres.
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  • Aristide MAILLOL
    11 décembre 2013, par Clara

    Né le 8 décembre 1861, et, mort le 27 septembre 1944 à Banyuls-sur-Mer dans les Pyrénées-Orientales.
    Après ses études secondaires, il intègre l’École Nationale supérieure des Beaux-Arts, où il prendra en exemple Alexandre Cabanel et son style onirique.
    À la suite de ses études, il rejoint le mouvement des Nabis, et devient célèbre pour ses sculptures de bronze ; principalement des corps humains.
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  • Robert DELAUNAY
    11 décembre 2013, par Clara

    Né le 12 Avril 1885 à Paris, et, mort le 25 Octobre 1941 à Montpellier.
    Il commence à peindre très tôt, et n’écoutant pas en cours, il quitte le lycée à l’âge de dix-sept ans, et devient apprenti dans les ateliers du décorateurs Eugène Ronsin. En même temps, il débute la peinture par le biais de son oncle Charles Damour, peintre traditionnel.
    Après son service militaire, il commence à fréquenter de jeunes artistes comme Henri Le Fauconnier, ou Fernand Léger.
    Il s’inspirera du cubisme (…)

  • Henri MANGUIN
    11 décembre 2013, par Clara

    Né le 23 mars 1874, et, mort le 25 septembre 1949 à Saint-Tropez.
    À l’âge de vingt ans, il fréquente quotidiennement l’atelier de Gustave Moreau où il rencontre plusieurs artistes tels que Jean Puy ou Henri Matisse.
    Il trouvera son havre de paix en découvrant Saint-Tropez, et s’installera dans cette ville jusqu’à sa mort. Inspiré par les paysages de la région, il exposera dans de nombreuses galeries (Italie, Zurich, Bucarest,...).
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  • Matthieu Astoux, graveur d’émotions (1/3)
    29 janvier 2014, par André Giordan & Alain Biancheri

    Nice-arts 2000+
    Matthieu Astoux est un antibois de naissance, il y vit le jour le 3 décembre 1965. Aujourd’hui, il habite à nouveau cette ville et y travaille ; son atelier est situé sur l’avenue de la Tour Gandolphe au Cap d’Antibes. C’est également dans cette cité des plus agréables qu’il réalise la plupart de ses expositions.
    Son parcours
    Après des études secondaires au lycée Jules Ferry à Cannes, Matthieu Astoux passe deux années à l’Ecole des Arts décoratifs de Limoges où il se (…)