Arthur Akopy peint, se promène, collecte des objets divers, les installe ici et là, prélève, arrange, assemble, colle ses Fragments en milieu naturel, les photographies... La modernité nous a appris de plus en plus à contextualiser les oeuvres, à faire des démarches qui y conduisent, des processus qu’elles exploitent, de leur mode de divulgation autant d’éléments constitutifs de leur sens. Au point de parfois ne plus pouvoir dissocier l’oeuvre produite de la totalité formée par l’histoire de (…)
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Contemporain
Articles
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Arthur AKOPY
11 décembre 2013, par Clara -
Charles André VAN LOO
11 décembre 2013, par ClaraNé le 15 février 1705 à Nice, et, mort le 15 juillet 1765 à Paris.
Lors des séjours en Italie avec son frère, il commence à dessiner et à étudier la sculpture. Durant quelques années, il commença à peindre ses propres toiles, tout en continuant à aider son frère à la restauration d’œuvres.
Il fut connu en Italie pour sa facilité à peindre des trompes l’œil des plafonds où se jouaient des scènes mythologiques ou religieuses, à tel point qu’il fut remarqué par le pape Benoît XIII.
Photo (…) -
Richard MONNIER
11 décembre 2013, par ClaraNé en 1951 à Paris,
Il est enseignant à l’école supérieure d’art de l’agglomération d’Annecy. On peut le considérer comme un artiste, un sculpteur, mais on peut aussi dire de lui qu’il s’agit avant tout d’un chercheur.
Photo de Une : © DR -
Exposition Mathieu SCHMITT "LMY, MY, DELILAH" Galerie Catherine ISSERT
10 mars 2014, par Service RédactionLa galerie Catherine Issert présente la première exposition personnelle de Mathieu Schmitt du 28 février au 26 avril 2014.
Faute de frappe dans le titre d’un article paru dans le New Scientist, « Lmy, My, My Delilah » fait référence à la fois à la célèbre chanson de Tom Jones « My, my, my Delilah » et au système avancé de discours sécurisé inventé par Alan Turing en 1943, DELILAH. Cette « coquille » rend certes le clin d’œil musical laborieux, mais génère dans le même temps une séquence (…) -
Centre d’Art contemporain
11 décembre 2013, par ClaraLe centre d’art contemporain de Saint Rémy « Art 04 » est situé dans une ancienne graineterie de 300 mètres carrés à laquelle on accède par un beau jardin (à 50 m du boulevard aux platanes, direction Maillane). Ce centre organise une exposition temporaire par an, toujours liée à l’invitation d’un artiste à séjourner et créer une production originale.
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Espace de l’Aygalier
11 décembre 2013, par ClaraEspace municipal, il permet aux associations locales d’organiser des expositions présentant leurs artistes.
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Chapitre 72 : César et Jany Carré (Part I)
12 mars 2014, par France DelvilleCésar et Jany Carré, la passion de la transmission Ayant, dans un salon du livre à Vence, retrouvé César et Jany Carré Damigny de Meurdrac, César en tant qu’écrivain (mais ce n’était pas nouveau), et Jany en tant qu’éditrice, je me suis dit que ce dynamique couple de « journalistes » - s’il faut regrouper sous ce terme des activités multiples tournant autour du fait de rendre compte des événements du monde, et de ce qui, chez les humains, les motive – avait peut-être fini, avec le goût de (…)
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Félix ZIEM
11 décembre 2013, par ClaraNé le 25 février 1821 à Beaune, et, mort le 10 novembre 1911 à Paris.
Il étudie l’architecture à Dijon, avant de quitter l’école après un différent avec la direction. Il décide de partir vivre à Marseille chez son frère, et va ouvrir une école de dessin sur le Vieux-Port, qui aura rapidement une grande réputation.
Après cette ouverture, il voyagera en Italie, en passant par Martigues et la ville de Nice, où il rencontrera une partie de ses clients parmi les riches russes ou anglais.
En (…) -
Merakhaazan ou La théorie des cordes
17 mars 2014, par Olivier MarroMerakhaazan ne se déplace jamais sans son encombrant étui renfermant une contrebasse à moins que ce ne soit un passeport pour d’autres voyages !
Le célèbre monologue de La Contrebasse de Süskind aurait pu être écrit pour lui mais Jean-Christophe Bournine n’est pas musicien d’orchestre. Il est seul en scène et compose. C’est bien là que réside toute la magie ! Des boucles de basses qui se chevauchent, des percussions pulsant du fond de l’organisme, des harmonies démultipliées à l’archet (…) -
Chapitre 74 : Colette Peignot ou la Laure de Georges Bataille (Part II)
8 mai 2014, par France DelvilleSuite de l’interview de Georges Sammut et Daniel Cassini dans le catalogue de l’exposition « Beau comme un symptôme » (CIAC, 2007)
Daniel Cassini - … Chacun, avec son symptôme qui semble malade ou ressassé, dispose de quelque chose d’absolument unique. Finalement c’est un message d’espoir, avec une dimension d’humour bien entendu. C’est-à-dire « ne vous laissez pas aller à vos passions tristes, mais sachez que, de votre symptôme, vous pouvez faire quelque chose ». Tu évoquais la perversion (…)