Arman, fidèle en amitié Chaque année, Arman envoyait ses vœux à Frédéric Altman sous la forme d’un collage, celui qui est présent dans l’exposition concerne l’année 2003 et dans le catalogue Frédéric a écrit : « Depuis sa disparition en 2005, Arman est toujours présent dans ma mémoire. (…)

Pour continuer sur le travail très intéressant de Lionel Bouffier, on lit régulièrement qu’il se dit autodidacte, mais l’artiste, sorti ou non d’une école, doit se donner les moyens plastiques et techniques de réaliser ses visions spécifiques. Lui, manifestement la photographie lui va comme un (…)

Photographie, Pop art, Peinture, Chronique,

Sur la voie du « premier Frédéric Altmann photographe », Frédéric Ballester, directeur de la Malmaison de Cannes, qui lui a fait en 2007 une exposition intitulée « La fureur de vivre » (350 photographies sur 30 années de reportage), a écrit un texte presque emblématique, dans l’énorme catalogue. (…)

Durant l’exposition, il était offert au visiteur de formuler sur un bout de papier ce qu’il considérait être « son plus beau symptôme », et de glisser ce papier dans une urne. Parmi les 165 réponses, le Quartel choisit la proposition « juive errante », qui devint le thème du film « Errance », (…)

Jean Mas est aussi dans le chapitre 17 (avec le film sur son exposition à la galerie Alexandre de la Salle « Fermez-moi doucement »), en compagnie de Jean-Pierre Mirouze et Arman à New-York et le film « Sanitation ». Cages à mouches DR Le documentaire du vernissage de Jean (…)

Suite du texte de Barbara J. Santarossa dans le catalogue de l’exposition 2009 « MADI INTERNATIONALE » au Valmore studio d’arte : Mirella Forlivesi, artiste MADI ductile et fuyante, à partir de 1999 expérimente continuellement de nouvelles techniques opérationnelles. Mirella (…)

« Sans titre » s’intitule l’exposition de Bernard Reyboz au CIAC (Centre international d’Art Contemporain, Château de Carros), du 3 mars au 10 juin 2012. Dans l’une des salles, face à des « Monolithes bleus », une phrase de lui est inscrite sur le mur : « La vie existe, je l’ai vue, j’y étais ». (…)

Les murs du Château de Carros vibrent de matières minérales, végétales et autres productions humaines réinventées par Bernard Reyboz, mais aussi de ses commentaires sensibles. En voici la suite : Accompagnant les Chrysalides Un jour, afin de l’occuper on offrit à un enfant une chrysalide (…)

Bernard Reyboz a suivi un fil conducteur invisible, étant dans le labyrinthe à la fois Ariane et Thésée. Car, il l’a souvent dit, ce n’était pas intellectuel, rationnel. C’était une logique à lui, la logique de la recherche. Il est passé tout naturellement d’un objet à un autre, explorant chacun (…)

L’œuvre est d’une telle richesse qu’on ne sait où donner de la tête, d’autant plus que le peu d’éclaircissements que donne Bernard Reyboz est à la fois lumineux - si je peux me permettre ce pléonasme - et producteur de mystère. Entre les « Matrices » et les « Chrysalides » comme phases (…)