
Le corps de Jean-Antoine Hierro, fragmenté, visage et bras seuls, et sous forme de pantin, confirme un ton de dérision. Jusqu’au masochisme ? Est-ce de débordement que parle ce travail, de déferlement de tsunami par lequel l’humain serait déjà vaincu ? Trop c’est trop. N’est-ce pas du trop qu’il (…)