Suite (bis) du texte intitulé « Beau comme un symptôme ou l’envers du cinéma » :
Parce notre symptôme, c’est notre cinéma inconscient, un mouvement, une chambre obscure avec des flashes, comme lorsque dans l’ombre, une spectatrice peut dire : quel choc, lorsque j’ai vu mon père pleurer ! Une (…)