
« Sans titre » s’intitule l’exposition de Bernard Reyboz au CIAC (Centre international d’Art Contemporain, Château de Carros), du 3 mars au 10 juin 2012. Dans l’une des salles, face à des « Monolithes bleus », une phrase de lui est inscrite sur le mur : « La vie existe, je l’ai vue, j’y étais ». (…)

Bernard Reyboz a suivi un fil conducteur invisible, étant dans le labyrinthe à la fois Ariane et Thésée. Car, il l’a souvent dit, ce n’était pas intellectuel, rationnel. C’était une logique à lui, la logique de la recherche. Il est passé tout naturellement d’un objet à un autre, explorant chacun (…)