« (...)Un homme, ce pourrait être vous ou moi, fait un geste. Momentané, s’évanouissant à peine accompli, le geste n’est ni fortuit, ni arbitraire. Le geste est précis : ne dit-on pas le "bon" geste, celui du danseur, de l’artisan, du musicien ? Il y a une justesse du geste, qui dépasse (…)