MARJORIE (Alpes-Maritimes)
– http://www.myspace.com/marjomusic

Chanteuse, guitariste et compositrice, Marjorie fait partie de cette poignée d’artistes dont le talent multi-facettes donne une vie nouvelle aux formes musicales qu’elle a choisi d’illustrer. Elle puise ses inspirations dans le jazz, le blues et le folk, elle se place dans le courant qui a vu ces musiques se mélanger jusqu’à créer un style nouveau représenté aujourd’hui par des artistes comme Rickie Lee Jones, Joni Mitchell ou encore Norah Jones. Après un long périple musical qui l’amena de Paris à Vienne, de Londres à Saint-Tropez en passant parLos Angeles où elle s’est produit en “solo”, Marjorie se trouve actuellement à Nice où elle a enregistré un premier album en français.Son talent s’épanouit sur des scènes aussi prestigieuses que celles du Moods de Monaco, du Festival de Guitare 2008 de Beaulieu-sur-Mer, de l’hôtel Radisson où elle a assuré les “Before” du Nice Jazz Festival 2008, et elle nous fait l’honneur de venir ouvrir la soirée à la MJC Picaud !
FREDRIKA STAHL (Suède)
– http://www.myspace.com/fredrikastahl

Fredrika Stahl, 25 ans, est déjà forte de deux albums internationalement reconnus. La jeune Suédoise exilée en France depuis sept ans, a conquis de haute lutte son droit d’entrée dans le monde du jazz à coup de compositions jazz-pop léchées.
Avec Sweep me away (nouvel album /sortie septembre 2010) Fredrika propose un bal romantique et quelquefois déglingué, où la pop se teinte de soul/hip hop acoustique et se dévergonde avec quelques accords de piano jazz-blues ou des cuivres très hot. Sa voix, telle un instrument, se perche parfois dans les hauteurs, se montre aussi chaude et délicate pour dévoiler un univers coloré. La mélodiste nous ravit l’oreille avec des chansons que l’on fredonne longtemps après les avoir écoutées. Les dernières années furent consacrées à tourner, au Japon, en Allemagne, où Fredrika Stahl est très appréciée pour sa classe naturelle et son aisance scénique. On a pu la découvrir aux côtés d’Herbie Hancock, Richard Bona ou encore Maceo Parker. Le résultat est très féminin et très personnel, à la manière de Regina Spektor ou Emiliana Torrini que Fredrika admire. On ne se lasse pas d’écouter Sweep me away, véritable perle jazz-pop ; comme on ne se lasse pas d’admirer la tranquille métamorphose de Fredrika Stahl, de chrysalide jazz en papillon pop.