Après 17 ans passés à Acropolis, l’emblématique festival azuréen de musique classique a fait peau neuve et a proposé aux Maralpins une nouvelle formule qui a séduit le plus grand nombre. Misant sur une grande variété d’artistes et en s’invitant dans 13 communes du département, « C’est Pas Classique » a su conserver son ADN : rendre la musique classique accessible à tous et gratuitement !
La 18e édition restera marquée par une programmation d’une grande richesse, avec des artistes prestigieux qui ont enchanté les Alpes-Maritimes pendant 16 jours, pour le plus grand plaisir des milliers de spectateurs venus assister aux représentations.
Pour Charles Ange GINESY, Président du Département des Alpes-Maritimes :
« Cette 18e édition du festival « C’est Pas Classique » est un franc succès ! Privé de son lieu historique après la destruction du Palais Acropolis, le Département des Alpes-Maritimes s’était lancé un énorme défi : faire évoluer ce festival ancré dans la vie des Niçois depuis 2005 vers une décentralisation dans 13 communes du territoire maralpin. C’est chose faite ! Plus de 30 concerts gratuits à guichets fermés à Lucéram, Puget-Théniers, Grasse... mais aussi dans les lieux historiques de Nice tels que l’Opéra, le Palais de la Méditerranée ou encore le Palais Nikaïa ! C’est un immense plaisir d’avoir accueilli 13 000 personnes durant 16 jours festifs. Le Conseil départemental est très heureux d’avoir pu faire découvrir la musique classique au plus grand nombre à travers une programmation étendue, éclectique et gratuite.
« C’est Pas Classique » a évolué sans perdre son ADN et son excellence ! Ce grand festival a participé une nouvelle fois au rayonnement des Alpes-Maritimes, bien au-delà de ses frontières. Je donne rendez-vous à tous les fidèles de « C’est Pas Classique », ceux qui aiment la musique classique dans tous ses registres et ceux qui aspirent à la connaître, l’année prochaine pour la 19ème édition ! »
« C’est Pas Classique » s’est exporté dans tout le département !
Durant plus de 2 semaines, le festival qui réunit la musique classique et la musique contemporaine a décliné sa programmation dans 13 communes maralpines, couvrant ainsi une grande partie du territoire pour rendre la culture toujours plus accessible à tous, autant sur le littoral que dans le moyen et le haut-pays. Avec 33 concerts proposés, cette édition aura permis aux amateurs de musique de profiter d’un répertoire éclectique entre petites scènes intimistes ou atypiques et temps forts dans de salles prestigieuses comme celle du Palais Nikaïa ou de l’Opéra de Nice.
Des artistes mondialement connus pour des temps forts exceptionnels
Cette année encore, « C’est Pas Classique » a été fidèle à sa réputation de festival culturel incontournable en rassemblant des artistes venus du monde entier. Parmi ces temps forts, le concert d’ouverture de Cerrone Electro Symphonic Orchestra restera dans les mémoires, avec l’Orchestre national de Cannes accompagnant l’artiste électro venu fêter ses 50 ans de carrière. L’artiste américain Kyle Eastwood a proposé un concert symphonique sur la scène de l’Opéra de Nice, pour faire honneur aux grands classiques des bandes originales issues des films de son père, Clint. André Manoukian a rendu hommage, au piano, à ses origines arméniennes avec les Balkanes Guest Dafé Kritharas au Palais de la Méditerranée. Parmi les autres grands moments de cette édition, les concerts à la bougie « Candlelight » au Palais des Rois sardes ont offert des instants musicaux uniques dans une ambiance magique, avec notamment les titres de Coldplay.
L’esprit « C’est Pas Classique » préservé dans sa nouvelle formule
Le Département, depuis la création du festival en 2005, a fait de « C’est Pas Classique » l’un des évènements essentiels de sa politique culturelle. L’esprit de ce festival, c’est de rendre la musique classique accessible à tous, gratuitement, et prouver que ce style musical n’a rien de figé et est toujours dans l’air du temps. En revisitant les classiques, en mixant les époques et les styles, « C’est Pas Classique » allie tradition et modernité, pour faire de ce festival une référence culturelle unique en son genre, qui a acquis une notoriété internationale, et qui ravit artistes et spectateurs. Grâce à une programmation sans cesse renouvelée, chaque édition se distingue des précédentes pour que toutes soient inoubliables.
Le festival en chiffres
En 2023 :
33 concerts / 250 artistes et techniciens
16 jours de festival
13 000 spectateurs de 0 à 99 ans
13 communes / 19 scènes différentes