Judith Kaantor est née dans le sud-ouest de la France, dans une famille cosmopolite. Elle vit et travaille à Nice
Son goût pour la couleur et le dessin vient de l’enfance, elle s’installe très tôt aux côtés de son père, peintre, qui lui enseigne les différentes techniques plastiques.
Elle pratique ensuite la céramique.
D’esprit nomade, elle séjourne en Italie, Afrique, Moyen-Orient, d’où elle ramène les images qui viendront hanter murs, tableaux et textes.
Sa peinture s’inspire de la ville, de l’enfance, de l’insolite qu’elle voit partout, même dans l’objet du quotidien.
Elle raconte la violence, l’horreur, la beauté, la poésie, l’absurde… Judith Kaantor à écrit à propos de sa peinture : « Cadmiums et outremers, totems baroques, mes personnages, foules, insectes ou clowns, rythment les couleurs entre passion, amour et dérision ».
Elle utilise des techniques mixtes, collages, pigments purs, acrylique, encres, plâtre, vieux draps, sur touts supports.
Elle parcourt les sentiers de montagnes, les forêts, les bords de rivières, ou elle met en place ses installations.
Son langage artistique se partage entre peinture et écriture. Un langage de la sensibilité, de la sensation.
Elle a publié des poèmes « Aubes en partage » aux éditions de l’Harmattan.
En 2006, Les Ecrivains Méditerranéens lui ont attribué le prix de poésie – Ville de Montpellier.
Elle collabore à plusieurs revues de poésie.
CRITIQUES
"Judith Kaantor met en situation parfois ses œuvres dans la nature pour en souligner la beauté, la fragilité, et la poésie.
La couleur souligne ses propos des « couleurs en fête chargées d’énergie » comme les qualifiait le poète André verdet qui appréciait le talent de Judith Kaantor qui évolue entre « passion, amour, humour, et dérision".
André Verdet
"A son beau travail de peintre, Judith Kaantor ajoute aujourd’hui son travail de poète, l’un l’autre se fécondant".
Michel Gaudet
"Kaantor, dans sa peinture, interroge la matière avec une grande force. La couleur éclate avec la plus grande frénésie.
Elle intègre des lettres, des signes : figures-symboles, comme le dit André Verdet. Le jeu du regard révèle à nos yeux un parcours-labyrinthe obsédant, avec de nombreuses ramifications, que le visiteur curieux poursuivra suivant son humeur. Chaque œuvre en exposition possède une histoire et une force indéniable".
Frédéric Altmann
