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Jean Mas : « Un Peu » de …

Oui, nous avons fait campagne pour 0% de voix, Art d’attitude qui s’inscrit après le 0% de matière grasse, de sel, de colorant…et de prêt à 0% ! Gage de qualité le 0% est exploité par l’artiste au plus grand plaisir de la décrispation. Tout un programme avec des actions de démotivation, un succès ! Mais seulement voilà , la voix des menaces, des menaces à l’égard des colistiers et de J.Mas lui-même. Des menaces de voter pour lui ! A suivre « un peu »...

Oui, un face à face, hasard des lieux et des jeux.

A Monte Carlo dans les jardins du casino : trente artistes ont accepté la thématique de l’art et de l’écologie (www.arty-ecology .com). Incompatibilité entre le hasard des jeux et celui de la gestion de la planète. Ma main « mise » sur la réussite de telle initiative d’enjeux écologiques pour « peu que l’on sans donne la peine ».

L’artiste Jean Mas
©S.Giordan

Oui : un dos à dos, Moya à Cap D’ail, Miguel aux Ponchettes

Rien à voir, ou plutôt si, une distance infinie entre la production de ces deux artistes. L’art permet d’apprécier les distances en mesurant le sens critique qui engage notre réflexion. Avec Moya, c’est être à soi- même son propre modèle qui se meut dans son monde. Implosion réussie d’un narcissisme fondant son utopie, l’être Moya règne ! Avec Miguel, c’est l’avancée de la matière, c’est le savoir d’une pratique qui fonde les éléments théoriques d’un bâtisseur. Deux artistes important pour qui veut un « Peu » plus de proximité distante avec la chose de l’art !

Oui à un « Peu » de publicité à la télé sur la chaîne publique

Il n’y a pas d’incompatibilité formelle et structurelle avec la Culture, le grand C de celui qui sait, prétend exclure la publicité arguant de la vérité sur ce qu’elle doit être. C’est comme si l’on avait dit à des conservateurs de musées : pas d’objet de prisunic dans les œuvres d’art. L’école de Nice, les nouveaux réalistes, n’auraient jamais existé ! Je suis pour un « Peu » de publicité.

Oui ! pour ceux qui ne connaissent pas encore Ben

, allez voir son expo chez Catherine Issert à saint Paul, mais là, nous sommes d’emblée dans le « trop » qui constitue le fumet de l’artiste. Voir Ben et mourir, c’est paraît-il mieux que Naples. Les nez sens du beau font partie des questions que pose l’artiste, il aura sans craindre la répétition, élevé la question au rang d’œuvre d’art. Artiste du « un peu trop » Ben devrait en faire « un peu moins » matin, midi et soir pendant au moins trois mois, crois-moi !

Oui, après la peinture au mètre linéaire

voici la sculpture au poids avec Giorgi. Il vendra ses petits poissons métalliques à la pesée (balance Roberval) et cela un 1° avril ! Il y aura de la friture dans l’air le 1° avril à 19h00, à la Galerie Librairie niçoise Jacques Mataraso (2 Rue Longchamp),

Photo Séverine Giordan

présentation par Jean Mas…

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