Semaine du cerveau sur la Côte d’Azur du 11 au 17 mars 2013 ?

Une semaine pour découvrir le cerveau et les progrès faits par la recherche en neurosciences !

La
délégation
Côte
d’Azur
du
CNRS
organise
la
manifestation
sur
le
département
des
Alpes
Maritimes
et
du
Var
et
l’Université
Nice
Sophia
Antipolis
est
partenaire
et
participe
activement
à
cet
événement
en
animant
de
nombreux
ateliers
scientifiques,
conférences
ou
expositions,
par
l’intermédiaire
de
l’Institut
de
Pharmacologie
Moléculaire
et
Cellulaire
(IPMC),
le
Laboratoire
d’Anthropologie
et
de
Psychologie
Cognitives
et
Sociales
(LAPCOS),
l’Institut
de
Chimie
de
Nice
(ICN)
et
le
bureau
des
étudiants
en
biologie.
Ateliers
scientifiques,
expositions,
café
des
sciences,
ciné-­ ?sciences
ont
lieu
dans
plusieurs
villes
associées
à
cette
opération
de
communication
et
de
culture
scientifique,
telles
que
Antibes,
Contes,
Grasse,
Sophia
Antipolis,
Nice,
Valbonne…

CONFÉRENCE INAUGURALE :

le cerveau au coeur de notre alimentation (tout
public)

Samedi
09
Mars
de
15
h
à
17
h

Salle
Polyvalente
du
Fort
Carré,
Antibes
par
Stéphane
SCHNEIDER,
Professeur
à
l’Université
Nice
Sophia
Antipolis,
Praticien
Hospitalier
au
CHU
de
Nice,
Chercheur
INSERM
au
C3M,
Responsable
de
l’unité
de
support
nutritionnel
du
pôle
digestif
à
l’Hôpital
l’Archet
de
Nice,
et
Président
du
conseil
scientifique
de
la
Société
francophone
de
nutrition
clinique
et
métabolisme.

Conférence
Inaugurale
de
la
Semaine
du
Cerveau
Côte
d’Azur
proposée
en
partenariat
avec
les
Grandes
Conférences
de
la
Ville
d’Antibes
Juan
les
Pins.
Le
cerveau
est
un
organe
complexe
dont
de
nombreux
composants
sont
intimement
liés
à
la
nutrition.
C’est
le
cerveau
qui
contrôle
notre
alimentation,
de
l’envie
de
manger
à
l’arrêt
du
repas.
Il
y
parvient
en
discutant
de
manière
continue
avec
notre
estomac,
notre
sang
mais
aussi
avec
les
bactéries
qui
habitent
notre
côlon.
Maintenant,
le
cerveau
a
besoin
lui
aussi
d’être
nourri,
et
la
belle
machine
qu’est
notre
organisme
prend
soin
de
son
âme
de
manière
continue,
en
situation
d’abondance
comme
de
disette.
La
qualité
de
l’alimentation
influe
également
sur
le
cerveau
et
en
particulier
certains
types
de
lipides
mais
également
différents
micronutriments
qui
peuvent
changer
son
fonctionnement.

Enfin,
cette
relation
cerveau-­ ?alimentation
est
également
importante
en
situation
de
maladie
 :
on
suspecte
un
rôle
de
l’alimentation
dans
la
survenue
de
la
maladie
d’Alzheimer
et
dans
l’évolution
de
la
maladie
de
Parkinson
 ;
à
côté
de
cela,
de
nombreuses
maladies
du
cerveau
détériorent
l’état
nutritionnel,
dans
le
sens
de
la
dénutrition
mais
aussi
dans
celui
de
l’obésité.
On
ne
connait
évidemment
qu’une
petite
partie
de
l’Histoire,
mais
cette
petite
partie
grossit
régulièrement
et
la
nutrition
de
notre
cerveau
y
est
sans
doute
pour
quelque
chose...