Les Boîtes Collector : de l’art contemporain à partager
La Vache qui rit®, c’est du sourire et de la bonne humeur à partager, mais c’est aussi une incroyable histoire d’innovation et de créativité.
C’est la raison pour laquelle a été lancée en 2014 une remarquable série de collaborations avec de grands artistes contemporains pour la réalisation de Boîtes Collector exceptionnelles en vue de célébrer le 100ème anniversaire de la marque en 2021. Ces collaborations actualisent et perpétuent les liens que les artistes tissent avec La Vache qui rit®, icône moderne qui, depuis près d’un siècle, leur sert régulièrement de source d’inspiration. Les Boîtes Collector sont considérées par les artistes qui les créent comme des œuvres à part entière que les consommateurs ont la
possibilité d’acheter au prix habituel d’une boîte de 24 portions.
Lors de leur mise en vente, les Boîtes Collector offrent ainsi un double choix : en manger le contenu, selon les bonnes habitudes de tout un chacun, ou les collectionner parce que simplement belles et originales ou en raison de l’intérêt plus averti que peuvent porter les amateurs d’art contemporain au travail d’un artiste de renommée internationale.
- Les trois boites collector depuis 2014 ! Jonathan Monk - Thomas Bayrle - Hans-Peter Feldmann. DR
Cette mise à disposition de l’art contemporain auprès du plus grand nombre, de façon
originale et décalée, caractérise les actions de Lab’Bel, Laboratoire artistique du Groupe Bel créé en 2010.
La Boîte Collector Jonathan Monk
En 2016, après Hans-Peter Feldman en 2014 et Thomas Bayrle en 2015, et toujours en collaboration avec le plasticien Michael Staab en tant que commissaire, c’est à l’artiste britannique Jonathan Monk que Lab’Bel a confié la création de la troisième Boîte Collector.
Né à Leicester en 1969, Jonathan Monk vit et travaille à Berlin. Dans son travail, il réexamine, s’approprie et remanie des œuvres iconiques de l’Histoire de l’art du XXe siècle avec humour et mordant.
S’exprimant en 2009, il définissait ainsi sa démarche : « Le processus d’appropriation
est quelque chose auquel j’ai fait appel et que j’ai utilisé dans mon travail depuis mes études en 1987. À cette époque (et jusqu’à maintenant), j’ai réalisé qu’être original était quelque-chose de quasi-impossible alors j’ai essayé d’utiliser ce qui existait déjà en tant que source de mon travail ».
Au travers de peintures murales, monochromes, sculptures éphémères ou photographies, il reflète la tendance de l’art contemporain à s’inspirer de références existantes tout en rendant hommage à de grandes figures telles que Sol LeWitt, Ed Ruscha, Bruce Nauman ou Laurence Weiner.
Ce faisant, il questionne le processus créatif à l’œuvre.