Les trois groupes, tous formés à Nice, participeront donc à la finale de la première édition du tremplin Nice
Zik Zak le mercredi 1er septembre au Théâtre de Verdure.
Le lauréat sera désigné pour 1/3 par le jury historique du tremplin et pour 2/3 par les spectateurs présents,
au moyen d’un système d’applaudimètre.
A la clé :
une date en première partie d’une tête d’affiche lors d’un concert Panda06 Production sur la saison 2011
un accompagnement promotion / communication par l’agence Fonétiq
une séance photo en studio par un photographe professionnel
coup de projecteur, soutien et programmation par les partenaires du tremplin
Pour assister à la finale il suffit de retirer une invitation au guichet du Théâtre de Verdure le mercredi 1er
septembre à partir de 17h, dans la limite des places disponibles.
The Hyphen
The Hyphen est né en 2008 par Santa (guitare, voix) & Puss (guitare), alors amis de lycée. Line, la bassiste et
Zack les rejoignent très vite. Les compositions de Santa & les prestations du groupe impressionnent très vite le public, attiré instinctivement
par leur énergie sauvage et rock’n’roll, bien loin des clichés pop édulcorée. Le jeu de guitare sec et tendu du Puss,
la rythmique hyper dansante de Line & Zack servent à merveille la voix de Santa qui fait frissonner les plus tièdes ! Le charisme
du groupe est palpable, de nombreux concerts s’enchaînent, permettant à Hyphen de s’affirmer comme une formation de premier
plan sur la scène azuréenne. Hyphen a ainsi remporté plusieurs tremplin prestigieux (La Ruche, Rock Addict, Class’Eurock,Jeunes
Musiciens...) et partagé la scène avec les Dodoz. Enfin, élu « Talent du mois » sur Taratata.com et playlisté sur Le Mouv’, le groupe
acquiert une dimension nationale. Hyphen compose désormais à huit mains et prépare l’enregistrement d’un premier E.P.
Hannah
Non, Hannah n’est pas une jeune Suédoise fraîchement débarquée sur la Côte d’Azur et tentant de nouer des liens
amicaux avec la scène locale, mais bel et bien un groupe, plus précisément un duo, masculin, délivrant une musique que l’on qualifiera
de « nervous folk », pas simplement pour inaugurer un genre insolite et abscons, mais parce qu’à bien y écouter, comment
mieux décrire ces harmonies folk malmenées par une rythmique psychotique et des pratiques sonores déviantes ? Portées en solo
pendant trois ans par Emmanuel A, les chansons d’Hannah s’offrent une deuxième naissance en 2009, suite à la rencontre providentielle
de Laurent T (M83, Mandrac…), batteur boulimique aux oreilles grandes ouvertes. Ensemble, ils repoussent les limites
de morceaux qui ne demandaient pas mieux et tentent aussi bien de tisser des atmosphères retenues que de bâtir des envolées
soniques. En quelques mois, les deux hommes créent un nouveau set, enregistrent quelques titres dans leur local de répétition et
organisent une mini-tournée parisienne, avant d’ouvrir pour Yodelice à Toulon. En février 2010 sort Ben’s Boy Hero & Prehistory,
premier EP (4 titres) du groupe.
www.myspace.com/hannahorhannah
Quadricolor
Quadricolor naît d’un pari adolescent au détour du conservatoire de Nice : user d’une virtuosité rigoureuse et
classique sur des covers irrationnels de leurs influences majeures : Late of the Pier, Kaiser Chiefs, Arctic Monkeys et tant d’autres.
Une blague vidéo récurrente sur le web, qui attire de plus en plus de fans de leurs reprises acoustiques très personnelles ! De ces
talents d’arrangeurs atypiques, découle tout naturellement l’envie de composer : Guillaume, Billy, Romain et David révèlent alors
une alchimie mélodique rare et mature. Leur pop anglophone, progressive et décomplexée, se joue de l’étiquette « Baby Rockers »
chère à notre scène française en ébullition, pour lorgner plutôt vers des songwriters U.S. s’encanaillant dans le Nothing Hill cosmopolite
du Swinging London... Leur dernier E.P « Euphony » flirte doucement vers une pop psychédélique plus électronique, située
quelque part entre Vampire Week-End, Metronomy et Grizzly bear, où nos multi-instrumentistes déversent la même effervescence
jubilatoire que dans leurs prestations lives exaltées. Le Printemps de Bourges ne s’y est pas trompé puisqu’ils y ont fièrement
représenté les couleurs de la région PACA.