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Gilbert PEDINIELLI

Mesdames, messieurs,
Mon noeud gordien, mon point focal, mes rencontres entrecroisées, ma jeunesse raide, ma référence permanente et ultime : l’extermination institutionnalisée des jugements émis par des demi-dieux et des hommes fatigués.

Qu’en faire ? Quelle mesure, quel repère, quel rhésus prendre ? Quelle engeance êtes-vous pour vouloir barrer mes cauchemars ? Le continu n’existe pas. Il est formé d’un discontinu variable. La promenade d’un point à un autre peut prendre une vie, un instant selon l’humeur, l’Histoire. L’analyse des passages non visibles devient essentielle pour l’artiste. Les faits sont bornés. Pour d’autres, cette recherche peut s’apparenter à un zeste d’humour ou au dandysme.

Source : http://www.pedinielli.com/

Photo de Une : © DR

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