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Fin de cet événement Avril 2014 - Date du 7 mars 2014 au 19 avril 2014

"ZooTropie" par Claudie Dadu, Marie-Eve Mestre et Gilles Miquelis

Situé dans le quartier de la Libération à Nice, « Le 22 » est un nouvel espace dédié à l’art contemporain, inauguré au printemps 2013.

Dans le cadre de sa nouvelle programmation 2014, « Le 22 » présente depuis le 7 mars et jusqu’au 19 avril 2014 une exposition regroupant les différents champs d’exploration empruntés par trois artistes - Claudie Dadu, Marie-Eve Mestre et Gilles Miquelis - qui, chacun à leur manière, développent autour de la figure humaine un « imaginaire du corps » en lien avec les polémiques actuelles et les mutations que traverse notre société.

Des travaux essentiellement figuratifs, issus de pratiques bien distinctes - dessin au cheveu pour Claudie Dadu, œuvres et manipulations numériques pour Marie-Eve Mestre, peinture sur calque ou rhodoïd pour Gilles Miquelis – et dont la diversité propose une réflexion commune sur le corps et ses différents modes de représentation à l’œuvre dans la production artistique contemporaine.
Ce nouvel accrochage sera également l’occasion de présenter, en partenariat avec la Librairie Masséna, une sélection d’ouvrages choisis par les artistes exposés. Cette sélection rend compte des relations qu’ils entretiennent avec la littérature (influences, objets de réflexions communes, affinités…) tout en proposant au public d’autres moyens d’appréhender les œuvres.

Artiste(s)

Claudie DADU

Qui ne connait pas les expressions telles que : « arriver comme un cheveu sur la soupe », « tirer par les cheveux », « ça tient à un cheveu » ? Là, ingénieusement, l’artiste Claudie Dadu tient un « fil long, poil lent » comme l’intitulé de l’une de ses œuvres réalisées avec des cheveux. Revendiquant la (...)

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Marie-Eve MESTRE

Née à Marseille en 1967 Vit et travaille à Cap d’Ail City

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Gilles MIQUELIS

Né à Nice en 1976, vit et travaille à Nice De grands formats sur calque à de plus petits dessins, l’artiste croque avec ironie les figures de nos contemporains et observe l’incongru de notre quotidien. Le tragi-comique prend le pas sur la banalité et donne à voir ce que le peintre nomme avec (...)

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